Jésus peut nous sortir de toute impasse!

Jésus peut nous sortir de toute impasse!

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est aisé, et mon fardeau léger. » Matthieu 11:28-30

Connaissez-vous la situation que de nombreuses tâches secondaires (dans mon cas des emails, l’administration, des rapports, etc.) veulent s’imposer tellement que notre appel premier risque d’être « mangé »? Dans le fond, c’est simplement une des nombreuses impasses qui peuvent survenir dans notre vie. Devant nous, il semble y avoir une montagne impossible à franchir. Que faire? Le verset cité ci-dessus m’est d’une aide inestimable — il indique comme trois étapes à vivre dans de telles situations.

1) Venir à Jésus!

C’est toujours la première chose à faire, sans exception! L’état d’impasse même est le signe que nous avons perdu la bonne vision des choses et que nous sommes retombés dans une perspective humaine. Nous ne voyons plus que les impossibilités de l’homme. Venir à Jésus, c’est commencer par refixer notre regard sur lui. Il nous rappelle sa grandeur, son amour, sa générosité, sa sagesse, son accueil et restaure finalement de nouveau la bonne perspective. Nous voyons de nouveau ses possibilités illimitées et qu’il a une solution pour toute situation, car IL EST LE CHEMIN lui-même, selon Jean 14:6. Nous retrouvons l’espérance, car il a promis de nous donner la vie en abondance, la liberté, la joie et la paix — et notre Dieu sait tenir ses promesses.

2) Recevoir ses instructions.

Souvent, ce sont nos propres voies qui nous ont menés dans de telles impasses. Et ce ne sont pas nos propres voies qui vont nous en sortir — elles nous y égarent plutôt encore davantage. C’est pourquoi de longues introspections et réflexions profondes ne servent souvent à rien. Ce sont ses voies, ses instructions, qui vont nous aider à nous en sortir à nouveau. Je crois que Jésus parle quand nous voulons vraiment l’écouter. Il peut parler de mille manières différentes, mais il parle. Il promet que ses brebis entendent sa voix (Jean 10:27). Et plus nous le connaissons, plus nous comprenons aussi son langage et ses manières de parler. Il peut nous remettre sur la bonne route par la parole d’une autre personne, par un verset biblique, une impression intérieure, etc.

3) Son joug est aisé et son fardeau léger.

Un joug aisé correspond à une tâche qui nous va bien, qui est faite sur mesure. Comme le boeuf laboure confortablement quand les formes de son joug sont bien adaptées à son corps et ses muscles, ainsi nous faisons volontiers un travail qui correspond à nos dons et capacités. De même, un fardeau léger nous correspond aussi parfaitement. Sans fardeau, on se sentirait inutile, et avec un fardeau lourd, on se fatiguerait trop vite et on n’arriverait pas au bout. Jésus connaît la bonne mesure pour nous, pour chacun de nous. Ces deux caractéristiques sont à la fois des indications supplémentaires pour retrouver la bonne voie que des confirmations de l’avoir trouvée. En route avec lui, on est simplement bien!

Nous ne sommes pas seuls

En plus, nous ne sommes pas seuls sous ce joug. Comme l’illustre la photo ci-dessus, il y a deux places pour deux boeufs. Jésus — qui a fait alliance avec nous — est le « boeuf » expérimenté qui tire sur le joug avec nous, qui sommes le jeune boeuf inexpérimenté. Il ne nous laisse pas seuls, il nous accompagne, il est à côté de nous et nous accepte dans notre cheminement (illustration de Manfred Engeli).

Donc Jésus est prêt à nous rejoindre dans n’importe lesquelles de nos impasses pour nous aider à en sortir et à nous remettre sur la bonne route.

Grâce à lui, nous sommes de nouveau libérés et accompagnés de cette certitude profonde d’avoir retrouvé notre vocation et de pouvoir donner le meilleur de nous-mêmes. Sa joie et sa paix en seront nécessairement les compagnons si agréables!

T. W.

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